Une offre d'achat par le Crédit Agricole et ses associés (Unigrains et Sofiprotéol), de la part de l'État (25 %) valorise l'entreprise à environ 18 millions d'euros au lieu des 36 millions d'euros précédemment évoqués. La part de l'État est donc évaluée à 4,4 millions d'euros, au lieu de 9 millions d'euros. Reste à savoir si l'État est prêt à accepter cette offre