On déclare auprès du cabinet Tiers Consult, suite à une étude rendue publique hier, qu'il n'existe pas « d'interfaces efficientes entre les domaines de l'agriculture, de la pêche et des industries agroalimentaires ». Le développement agricole tel que
conçu actuellement ne répond pas, aux besoins de l'agroalimentaire, les cultures industrielles n'étant pas assez répandues. La situation se vérifie en matière de quantité souvent insuffisante pour la transformation. Dans un tel contexte, l'industrie agroalimentaire algérienne n'est pas organisée pour faire face à une concurrence étrangère « très forte », qui plus est souvent déloyale et profitable au secteur informel.