Huile d'olive : production en baisse
- Création : 3 novembre 2008
Rappelons d’abord que l’huile d’olive, qui est un produit traditionnel de l’agriculture, connaît un puissant regain d’intérêt tout au long des différents maillons de la filière en raison de la revalorisation de ses vertus auprès des consommateurs à l’export.
Il procure 20% de l’emploi agricole, occupe 30% des terres, et fait vivre directement et indirectement 10% de la population. La moitié des exportations agricoles proviennent de l’huile d’olive. La Tunisie est le 4ème producteur mondial et le 2ème exportateur. Cependant, malgré sa grande qualité, l’huile d’olive tunisienne n’est pas assez valorisée sur le marché international faute d’un conditionnement approprié, coûteux en investissement. Des progrès lents sont enregistrés sur ce plan, chaque année, malgré les incitations mises en place. Toujours est-il que les prévisions pour 2008-2009 sont de 150.000 tonnes contre 180.000 en 2007-2008. Suite au déficit pluviométrique enregistré en 2008, une intensification de la recherche de nouveaux marchés à l’export est entreprise, le problème reste posé pour ce qui est du coût élevé pour le consommateur tunisien.
Rappelons d’abord que l’huile d’olive, qui est un produit traditionnel de l’agriculture, connaît un puissant regain d’intérêt tout au long des différents maillons de la filière en raison de la revalorisation de ses vertus auprès des consommateurs à l’export. Il procure 20% de l’emploi agricole, occupe 30% des terres, et fait vivre directement et indirectement 10% de la population. La moitié des exportations agricoles proviennent de l’huile d’olive. La Tunisie est le 4ème producteur mondial et le 2ème exportateur. Cependant, malgré sa grande qualité, l’huile d’olive tunisienne n’est pas assez valorisée sur le marché international faute d’un conditionnement approprié, coûteux en investissement. Des progrès lents sont enregistrés sur ce plan, chaque année, malgré les incitations mises en place. Toujours est-il que les prévisions pour 2008-2009 sont de 150.000 tonnes contre 180.000 en 2007-2008. Suite au déficit pluviométrique enregistré en 2008, une intensification de la recherche de nouveaux marchés à l’export est entreprise, le problème reste posé pour ce qui est du coût élevé pour le consommateur tunisien.
Source : www.realites.com.tn